Scène photo-réaliste de Prime Macron : main posant une liasse de billets en euros près d’un bulletin de paie flouté sur un bureau moderne, avec employé de bureau souriant en arrière-plan.

La prime Macron reste un levier puissant pour soutenir le pouvoir d’achat de votre équipe.

Depuis 2022, la fameuse « prime Macron » a été transformée en prime de partage de la valeur (PPV). Pourtant, dans le langage courant – et dans beaucoup de restaurants – on continue à parler de prime Macron. Cet article fait le point, en 2025, sur les règles à jour, les plafonds d’exonération et la mise en place concrète dans un établissement de restauration.

Spécialiste des métiers de bouche, Compta Resto accompagne depuis plus de 20 ans les restaurateurs dans la mise en œuvre sécurisée de ce dispositif : paie, URSSAF, rédaction des décisions unilatérales ou accords, simulations de coût… Voici un guide complet pour l’utiliser sans risque.

Qu’appelle-t-on encore « prime Macron » en 2025 ?

De la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat à la prime de partage de la valeur

Entre 2019 et le 31 mars 2022, la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (PEPA) a été instaurée, puis renouvelée, pour soutenir le pouvoir d’achat des salariés. C’est elle qui a été surnommée « prime Macron ».

La loi n° 2022‑1158 du 16 août 2022 a pérennisé le dispositif sous un nouveau nom : la prime de partage de la valeur (PPV). Elle remplace juridiquement l’ancienne PEPA mais poursuit la même logique :

  • prime facultative, décidée librement par l’employeur ;
  • exonérations sociales importantes dans la limite de plafonds ;
  • règles spécifiques d’exonération fiscale selon la taille de l’entreprise et le salaire des bénéficiaires.

En pratique, quand on parle de prime Macron en 2025, on parle donc de la PPV telle qu’elle est définie par la loi et les textes officiels (BOSS, URSSAF, ministères).

Un dispositif très utilisé dans la restauration

Selon les données Urssaf reprises par l’Institut Montaigne, plus de 7 millions de salariés ont bénéficié d’une prime de partage de la valeur en 2023, pour plus de 5 milliards d’euros versés. Le dispositif reste donc massivement utilisé, notamment dans les secteurs à forte tension de recrutement comme l’hôtellerie-restauration.

Pour un restaurant, la prime Macron permet par exemple :

  • de récompenser une équipe qui a tenu pendant une haute saison intense ;
  • de fidéliser les bons éléments dans un contexte de pénurie de personnel ;
  • d’offrir un « coup de pouce » ciblé (salaire modeste, temps partiel, apprentis méritants).

Encore faut-il respecter les règles d’exonération pour éviter tout redressement URSSAF. C’est précisément là que l’expertise d’un cabinet dédié aux restaurateurs comme Compta Resto fait la différence.

Qui peut verser la prime Macron et à qui dans un restaurant ?

Quels employeurs sont concernés ?

La prime de partage de la valeur peut être versée par la plupart des employeurs de droit privé :

  • restaurants traditionnels, brasseries, bistrots, bars à tapas, cafés ;
  • chaînes de restauration, franchises, dark kitchens, traiteurs ;
  • food-trucks, concepts street food, sandwicheries…

Le dispositif est ouvert quelle que soit la taille de l’entreprise, du petit restaurant avec 3 salariés au groupe multi‑établissements. Les modalités d’exonération fiscale changent en revanche selon que l’entreprise emploie moins de 50 salariés ou non (nous y revenons plus loin).

À noter : depuis la loi du 29 novembre 2023, un dispositif de partage de la valeur devient obligatoire pendant 5 ans dans certaines sociétés de 11 à 49 salariés qui dégagent au moins 1 % de bénéfice net fiscal pendant 3 années consécutives. La PPV fait partie des outils possibles pour répondre à cette obligation, mais ce n’est pas le seul (intéressement, participation, abondement de plan d’épargne).

Quels salariés peuvent bénéficier de la prime ?

Dans un restaurant, peuvent bénéficier de la prime Macron (PPV) :

  • les salariés en CDI (chef, second, chef de rang, manager de salle, etc.) ;
  • les CDD, saisonniers, extras (s’ils sont salariés de votre structure) ;
  • les salariés à temps partiel ;
  • les apprentis et contrats de professionnalisation ;
  • les salariés mis à disposition par une entreprise de travail temporaire, au travers de leur employeur (l’agence d’intérim versera la prime).

La loi prévoit que la prime doit bénéficier aux salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail :

  • à la date de versement de la prime, ou
  • à la date de dépôt de l’accord instituant la prime, ou
  • à la date de signature de la décision unilatérale de l’employeur (DUE).

Il est possible de réserver la prime à une partie des salariés, en fixant des conditions (présence, rémunération, temps de travail…), mais uniquement à partir des critères autorisés

Montant, plafonds et exonérations de la prime Macron en 2025

Plafonds de base : 3 000 € ou 6 000 € par salarié et par an

La prime Macron (PPV) est exonérée de cotisations et contributions sociales à hauteur de :

  • 3 000 € par bénéficiaire et par année civile,
  • 6 000 € si certaines conditions sont remplies (notamment mise en place d’un dispositif d’intéressement ou de participation).

Ce plafond s’apprécie globalement sur l’année pour chaque salarié : si vous versez deux primes en 2025 à un même salarié (possible depuis la loi du 29 novembre 2023), leur montant cumulé ne pourra être exonéré qu’à hauteur de 3 000 € ou 6 000 € selon votre situation.

Rien n’interdit de verser une prime plus élevée, mais la partie qui dépasse les plafonds sera entièrement soumise aux cotisations sociales et à l’impôt sur le revenu.

Régime social et fiscal de la prime Macron en 2025

En 2025, on distingue deux grands régimes :

  • le régime de base : exonération de cotisations sociales (hors CSG/CRDS et, le cas échéant, forfait social), mais imposition possible de la prime ;
  • le régime renforcé temporaire 2024‑2026 pour les petites entreprises de moins de 50 salariés et les salariés gagnant moins de 3 SMIC.

Les modalités précises sont détaillées par le ministère de l’Économie dans sa fiche officielle sur la prime de partage de la valeur et par le ministère du Travail dans la page dédiée à la PPV.

Tableau récapitulatif des exonérations de la prime Macron en 2025

Situation en 2025 Entreprise Salarié Régime social Régime fiscal (IR) Plafond d’exonération
Régime renforcé 2024‑2026 < 50 salariés Rémunération < 3 SMIC annuels sur les 12 derniers mois Exonération de cotisations et contributions sociales (dans la limite du plafond) Exonération d’impôt sur le revenu (dans la limite du plafond) 3 000 € ou 6 000 € / an / salarié
Régime de base Toute entreprise Sans condition particulière de rémunération Exonération de cotisations sociales jusqu’au plafond, mais CSG/CRDS et, pour certaines entreprises, forfait social restent dus Soumise à l’impôt sur le revenu 3 000 € ou 6 000 € / an / salarié
Montant au‑delà des plafonds Toute entreprise Tous salariés Traitement comme salaire classique (cotisations sociales complètes) Imposition comme salaire classique Pas de plafond : exonérations limitées à 3 000 € ou 6 000 €

Pour un petit restaurant de 10 salariés éligibles au régime renforcé, une prime de 500 € par personne représente 5 000 € de budget pour l’entreprise et 5 000 € nets distribués à l’équipe, sans charges sociales ni impôt sur le revenu dans la limite des plafonds.

Peut-on fractionner la prime Macron sur l’année ?

Oui. La PPV peut être versée :

  • en une seule fois, ou
  • en plusieurs fois au cours de l’année civile, dans la limite d’un versement par trimestre (soit 4 fractions maximum).

Dans la restauration, cette possibilité est utile pour adapter le versement à la trésorerie : par exemple, un versement après la saison estivale, puis un complément en fin d’année si le restaurant a bien tourné.

Critères d’attribution et de modulation de la prime dans un restaurant

Principe de non-substitution

Règle fondamentale : la prime Macron doit augmenter le pouvoir d’achat, pas remplacer un élément de salaire existant. Elle ne peut pas se substituer :

  • au salaire de base ou à une augmentation prévue ;
  • aux primes prévues par la convention collective HCR (ex. 13e mois, prime d’ancienneté, prime de service, etc.) ;
  • aux usages du restaurant (prime de fin d’année versée habituellement, par exemple).

Si l’URSSAF considère que la prime Macron remplace en réalité une prime existante, elle peut requalifier la somme et réclamer toutes les cotisations sociales correspondantes, avec pénalités.

Critères de modulation autorisés

Le montant de la prime peut être identique pour tous ou modulé selon des critères strictement limités par la loi :

  • rémunération ;
  • niveau de classification (par exemple, cadre / non cadre, cuisiniers / encadrement) ;
  • ancienneté dans l’entreprise ;
  • durée de présence effective sur l’année écoulée ;
  • durée de travail prévue au contrat (temps plein / temps partiel).

Ces critères peuvent être combinés, mais vous ne pouvez jamais moduler la prime selon :

  • le sexe, l’âge, l’origine, la situation familiale, la religion, les opinions syndicales ;
  • le type de contrat (CDI/CDD) en tant que tel ;
  • une appréciation purement subjective de la performance.

Pour éviter tout risque de remise en cause des exonérations, il est recommandé de rester dans des écarts de montants raisonnables entre salariés répondant à des critères comparables. Les administrations (BOSS, URSSAF) ont déjà rappelé qu’une modulation conduisant à des écarts « disproportionnés » pouvait faire perdre le bénéfice de l’exonération.

Exemples concrets adaptés à un restaurant

Exemple 1 – Restaurant de 8 salariés, prime uniforme :

  • 1 000 € de prime pour chaque salarié présent au 31 décembre 2025 ;
  • critère : présence + plafond de rémunération (par exemple, ne pas dépasser 3 SMIC pour bénéficier de l’exonération renforcée).

Exemple 2 – Brasserie avec 20 salariés :

  • prime de base de 800 € pour tous ;
  • prime portée à 1 200 € pour les salariés présents toute l’année ;
  • prime proratisée pour les temps partiels (critère : durée du travail au contrat).

Exemple 3 – Groupe de restaurants avec intéressement :

  • prime modulée selon la classification (cuisine / salle / encadrement) et la rémunération ;
  • plafond d’exonération porté à 6 000 € grâce à la mise en place d’un accord d’intéressement.

Comment mettre concrètement en place la prime Macron dans votre restaurant ?

Étape 1 : définir votre budget et vos objectifs

Avant de rédiger quoi que ce soit, il est important de clarifier :

  • le budget global que vous pouvez consacrer à la prime (en intégrant votre trésorerie et votre saisonnalité) ;
  • vos objectifs RH : fidélisation, récompense d’une saison réussie, soutien du pouvoir d’achat pour les plus bas salaires… ;
  • l’impact recherché sur le coût global de la masse salariale.

Un expert-comptable spécialisé restauration, comme l’équipe de Compta Resto, peut vous aider à simuler différents scénarios : budget, nombre de bénéficiaires, choix des critères, conséquences sur votre résultat.

Étape 2 : choisir le cadre juridique (accord ou décision unilatérale)

Vous avez deux grandes options pour mettre en place la prime Macron :

  • Accord d’entreprise (ou de groupe), négocié avec les représentants du personnel / syndicats, ou ratifié par les salariés ;
  • Décision unilatérale de l’employeur (DUE), après consultation du CSE s’il existe.

Dans les petites structures de restauration sans CSE ni délégués syndicaux, la DUE est souvent la solution la plus simple. Mais il faut veiller à :

  • préciser clairement les critères d’attribution et de modulation ;
  • indiquer la date de référence pour la présence (par exemple, date de versement) ;
  • respecter le principe de non-substitution ;
  • informer individuellement les salariés.

La rédaction de cette décision est un point sensible pour sécuriser l’exonération. Un accompagnement professionnel limite le risque d’interprétation défavorable par l’URSSAF.

Étape 3 : informer vos équipes

Une fois la décision prise, il est recommandé de :

  • présenter le dispositif à votre équipe (réunion, note de service, affichage) ;
  • expliquer les critères choisis et leur justification (équité, soutien des plus bas salaires, prise en compte de la présence…) ;
  • indiquer les modalités pratiques : date(s) de versement, mention sur le bulletin de paie, éventuelle possibilité d’épargne (PEE, PER collectif si existants).

Une communication claire renforce la valeur perçue de la prime et évite les malentendus (« Pourquoi je n’ai pas le même montant que mon collègue ? »).

Étape 4 : paramétrer la paie et la DSN

La PPV doit apparaitre sur une ligne dédiée du bulletin de paie. Elle doit également être correctement déclarée en DSN, avec les bons codes, pour que les exonérations soient appliquées et tracées.

Dans un restaurant qui externalise sa paie, il est important de transmettre à temps :

  • la DUE ou l’accord qui institue la prime ;
  • la liste des bénéficiaires ;
  • le montant attribué à chacun ;
  • les informations nécessaires pour apprécier les critères (rémunération annuelle, temps de travail, présence).

Un paramétrage incorrect (mauvais code DSN, non-respect des plafonds, oubli de certains bénéficiaires éligibles) peut entraîner une perte d’exonérations ou des relances des organismes sociaux.

Les erreurs fréquentes à éviter

Confondre prime Macron et prime de fin d’année « maison »

Beaucoup de restaurateurs versent depuis des années une prime de fin d’année habituelle. Si cette prime devient un véritable usage, la remplacer du jour au lendemain par une PPV peut être considéré comme une substitution de rémunération, ce qui remet en cause les exonérations.

Il est possible de conserver votre prime de fin d’année et d’y ajouter une PPV, ou de réorganiser vos pratiques en respectant un délai suffisant et en étant accompagné pour ne pas perdre le bénéfice du dispositif.

Utiliser des critères non autorisés (et perdre les exonérations)

Exemples à proscrire :

  • réserver la prime aux seuls CDI alors que certains CDD remplissent les critères légaux ;
  • exclure tous les salariés avec moins d’un an d’ancienneté sans justification par un critère autorisé et raisonnable ;
  • moduler la prime selon des éléments disciplinaires sans lien avec les critères de la loi.

En cas de contrôle, ces pratiques peuvent conduire à la réintégration de la prime dans l’assiette des cotisations pour l’ensemble des salariés concernés.

Négliger l’impact sur la politique salariale globale

La prime Macron ne doit pas devenir un substitut systématique à des augmentations de salaires, surtout dans un secteur où la fidélisation est cruciale. Un bon équilibre à trouver :

  • des augmentations de salaire pérennes pour rester attractif sur le marché ;
  • des primes ponctuelles bien ciblées (hautes saisons, résultats exceptionnels, soutien ponctuel au pouvoir d’achat).

Une vision globale de votre masse salariale et de vos marges (coût matières, énergie, loyers…) est essentielle. C’est un travail typique d’accompagnement d’un cabinet comme Compta Resto, qui connaît les réalités économiques des restaurants.

FAQ : la prime Macron dans la restauration

La prime Macron est-elle obligatoire pour mon restaurant en 2025 ?

Non, la prime Macron (prime de partage de la valeur) reste en principe facultative. Vous n’êtes pas obligé de la verser, même si votre restaurant va bien. En revanche, depuis la loi du 29 novembre 2023, certaines sociétés de 11 à 49 salariés, qui réalisent au moins 1 % de bénéfice net fiscal pendant 3 années consécutives, doivent mettre en place un dispositif de partage de la valeur pendant 5 ans (intéressement, participation, PPV ou abondement d’épargne salariale). La prime n’est donc pas obligatoire en elle‑même, mais elle peut être un moyen simple de répondre à cette nouvelle obligation.

Comment verser la prime Macron à un apprenti dans mon restaurant ?

Les apprentis et contrats de professionnalisation peuvent bénéficier de la prime Macron au même titre que les autres salariés, dès lors qu’ils sont liés par un contrat de travail aux dates prévues (versement, DUE, dépôt de l’accord). Vous pouvez leur attribuer un montant identique ou modulé selon des critères autorisés (temps de travail, présence, rémunération). Les périodes de formation en CFA sont assimilées à du temps de présence effectif pour la détermination de la prime. Concrètement, l’apprenti verra apparaître la PPV sur son bulletin de paie, avec le régime social et fiscal applicable comme pour les autres membres de l’équipe.

Peut-on cumuler prime Macron et pourboires dans la restauration ?

Oui, prime Macron et pourboires sont deux dispositifs distincts. Les pourboires, qu’ils soient collectés en espèces ou via carte bancaire, relèvent de règles particulières et sont en principe soumis à cotisations et impôt (avec certains régimes spécifiques selon les périodes). La prime de partage de la valeur est, elle, encadrée par un régime d’exonérations plafonné. Vous pouvez donc verser une PPV à vos salariés qui perçoivent déjà des pourboires. Il faut simplement veiller à ne pas utiliser la prime Macron pour compenser la suppression ou la diminution d’un système de pourboires, ce qui pourrait être assimilé à de la substitution de rémunération.

Comment traiter la prime Macron pour les salariés à temps partiel ou en extra ?

La durée du travail peut être utilisée comme critère de modulation. Vous pouvez, par exemple, décider que la prime sera proratisée en fonction du temps de travail contractuel, ce qui est courant dans la restauration où coexistent temps plein et temps partiel. Pour les extras, tout dépend de leur statut : s’ils sont salariés de votre entreprise à la date de référence définie (versement ou DUE) et remplissent les conditions fixées, ils peuvent bénéficier de la prime. Il est important que ces règles soient écrites noir sur blanc dans la décision unilatérale ou l’accord, afin d’éviter les contestations.

Quelle différence entre prime Macron et prime de fin d’année classique ?

Une prime de fin d’année « classique » est une prime libre que vous versez par usage ou décision ponctuelle, soumise aux cotisations et à l’impôt comme du salaire, sauf dispositif particulier. La prime Macron (PPV), elle, obéit à un régime spécifique : plafonds d’exonération, critères limités, interdiction de substitution, modalités de mise en place encadrées. Si une prime de fin d’année est versée chaque année de manière régulière et identique, elle peut être considérée comme un usage et ne doit pas être simplement « renommée » en PPV. En pratique, on peut cumuler les deux, mais il faut organiser la transition avec prudence pour ne pas perdre les exonérations.

Et maintenant, comment sécuriser votre prime Macron ?

Bien utilisée, la prime Macron est un excellent outil pour soutenir le pouvoir d’achat de votre brigade tout en maîtrisant votre masse salariale. Mais entre les plafonds, les critères, les dates et les régimes d’exonération, le risque d’erreur n’est pas négligeable, surtout dans un restaurant où le temps manque.

Les équipes de Compta Resto maîtrisent à la fois les règles sociales de la PPV et les spécificités économiques de la restauration. Nous pouvons vous aider à :

  • définir un budget de prime cohérent avec votre activité ;
  • rédiger une décision unilatérale ou un accord sécurisé ;
  • paramétrer correctement la paie et les déclarations sociales ;
  • articuler prime Macron, augmentations de salaires et autres avantages.

Vous souhaitez mettre en place ou optimiser la prime Macron dans votre établissement ? Contactez-nous pour un accompagnement sur mesure via notre formulaire de demande de devis. Vous gagnerez en sécurité juridique, en clarté pour vos équipes et en sérénité pour vous concentrer sur l’essentiel : faire tourner votre restaurant.